« Théorie FibroHuman » - 250 symptômes de la fibromyalgie

250 symptômes

associés à la FIBROMYALGIE
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🌸 Bonjour 😍
Je suis Kassandra de FibroHuman.
J’ai vécu 30 ans avec la fibromyalgie sans diagnostic, et ma mère en a souffert pendant 55 ans et le sien n'a jamais été posé… Malgré qu'elle a plus de 100 symptômes sur les 250, liés à la fibromyalgie.

Si tu es arrivée sur ce formulaire, c’est sans doute parce que tu veux savoir combien de symptômes parmi les 250 liés à la fibromyalgie te concernent.

💡 Et rappelle-toi : la fibromyalgie peut se superposer à d’autres maladies.
C’est pourquoi il est important de bien comprendre ton corps et ton profil.

En remplissant ce formulaire, tu découvriras aussi si ton profil est plutôt douleurs, fatigue ou mixte.

✨ Bon remplissage du formulaire — prends ton temps et sois à l’écoute de ton ressenti. 💖
💪 Système musculo-squelettique
Douleurs et tensions (1-5)

1. Douleurs spontanées diffuses et lancinantes (des douleurs qui apparaissent sans raison, un peu partout dans le corps. Elles changent souvent d’endroit, d’intensité ou de type : piqûres, brûlures, tiraillements)2. Douleurs musculaires profondes (une sensation de douleur à l’intérieur des muscles, comme si ceux-ci étaient fatigués, contractés ou endoloris en permanence. Souvent ressentie après peu d’effort)3. Raideur matinale (le corps semble rigide et douloureux au réveil, comme s’il “avait rouillé” pendant la nuit. Il faut souvent plusieurs minutes pour se détendre et retrouver de la souplesse)4. Courbatures permanentes (une impression d’avoir fait trop d’exercice… même sans effort particulier. Les muscles semblent lourds, douloureux et sensibles au toucher)5. Sensation de tiraillement (une tension interne dans les muscles ou les tendons, comme si quelque chose tirait sous la peau ou le long du corps. Cela peut gêner les mouvements ou donner une sensation d’étirement constant)
Plus bas, tu as une question sur ton niveau de douleur. Voici une échelle : essaie de trouver une moyenne sur les trois derniers mois.
DOULEURS : sur les trois derniers mois, comment définirais-tu le niveau moyen de tes douleurs ? (Ne prends pas en compte les crises aiguës.) :*

01-34-56-78-10
Troubles musculaires et articulaires (6-15)

6. Crampes nocturnes (les contractions soudaines et très douloureuses des muscles, surtout la nuit. Elles peuvent réveiller brutalement et laisser une sensation de tension durable)7. Spasmes musculaires (les secousses ou crispations involontaires des muscles, souvent accompagnées de douleur. Ils peuvent apparaître dans n’importe quelle zone du corps, même au repos)8. Faiblesse musculaire (les muscles semblent manquer d’énergie. On a du mal à soulever, porter, ou maintenir des efforts simples, comme tenir un objet longtemps)9. Fatigue musculaire rapide (les muscles se fatiguent beaucoup plus vite que la normale, même après un petit effort : monter une marche, tenir une posture. Cela donne une impression d’épuisement local immédiat)10. Perte de force au niveau des mains (les mains deviennent faibles, maladroites ou tremblantes. Tenir un objet ou ouvrir un bocal peut devenir difficile)11. Difficultés pour monter ou descendre un escalier (les jambes manquent de force et les articulations deviennent douloureuses à l’effort. Chaque marche peut provoquer une sensation de brûlure ou de blocage)12. Genoux qui se dérobent (les genoux lâchent soudainement, comme si la jambe ne tenait plus le poids du corps. Cela peut provoquer une perte d’équilibre ou une chute)13. Difficultés pour lever et baisser les bras (les épaules et les bras deviennent lourds et douloureux. Lever les bras pour coiffer ses cheveux ou attraper un objet en hauteur peut devenir pénible)14. Douleurs thoraciques musculaires (douleur localisée dans les muscles de la poitrine, souvent d’un seul côté. Elle peut imiter une douleur cardiaque mais vient des muscles intercostaux ou du diaphragme)15. Douleurs à la mastication (les muscles de la mâchoire se contractent ou se fatiguent rapidement. Manger, parler longtemps ou mordre un aliment dur peut provoquer une douleur ou une sensation de blocage)
Pathologies associées (16-24)

16. Fasciite plantaire (inflammation du tissu sous le pied : aponévrose plantaire, qui relie le talon aux orteils. Provoque une douleur vive au talon ou à la plante du pied, surtout le matin ou après une longue marche)17. Éperons calcanéens (petites excroissances osseuses qui se forment sous le talon. Elles augmentent la douleur à chaque appui et peuvent accompagner une fasciite plantaire)18. Tendinites (inflammation d’un tendon : le cordon qui relie le muscle à l’os. La zone devient douloureuse, raide, parfois chaude ou gonflée, surtout après un effort)19. Bursites (inflammation d’une bourse séreuse, petit sac qui amortit les frottements entre os et muscles. Elle cause une douleur localisée (épaule, hanche, coude, genou) et parfois un gonflement visible)20. Syndrome du canal carpien (compression d’un nerf dans le poignet. Provoque des fourmillements, engourdissements et douleurs dans les doigts, surtout la nuit)21. Articulation temporo-mandibulaire (ATM)22. Déviation de la mâchoire (lorsqu’on ouvre ou ferme la bouche, la mâchoire ne suit plus une ligne droite. Cela peut s’accompagner de tension, de blocage ou de douleur unilatérale)23. Occlusion dentaire difficile (les dents ne s’emboîtent plus correctement quand on ferme la bouche. Cela provoque une gêne, des tensions musculaires ou des douleurs dans la mâchoire et les tempes)24. Bruxisme (grincement ou serrage involontaire des dents, souvent la nuit. Cela use les dents, provoque des douleurs à la mâchoire et des maux de tête au réveil)
😔 Système psychique et émotionnel
(25-42)

25. Anxiété généralisée (un état de tension et d’inquiétude constante, souvent sans raison précise. Le corps reste en alerte, le mental anticipe le pire, et le repos devient difficile)26. Crises d’angoisse (des épisodes soudains de peur intense, accompagnés souvent de palpitations, sueurs, tremblements, ou difficulté à respirer. Elles durent généralement quelques minutes mais laissent une grande fatigue après coup)27. Crises de panique (montée brutale d’une peur incontrôlable, avec impression de perdre le contrôle ou de mourir. Souvent déclenchée par un stress, mais parfois sans cause apparente)28. Dépression chronique (une tristesse durable, un manque d’énergie et de plaisir pour les choses du quotidien. Le moral reste bas pendant des semaines ou des mois, souvent associé à la fatigue et à la douleur)29. Idées suicidaires (pensées sombres liées à un sentiment de désespoir ou d’inutilité. Elles ne mènent pas toujours à un passage à l’acte, mais traduisent une grande souffrance intérieure)30. Irritabilité (réactions vives ou colères soudaines pour des choses insignifiantes.Elle vient souvent de la fatigue nerveuse ou de la douleur persistante)31. Sautes d’humeur (les émotions changent rapidement : calme, puis tristesse, puis colère. Le corps et le mental réagissent de façon instable aux événements)32. Hypersensibilité émotionnelle (les émotions sont vécues de manière amplifiée : une petite remarque peut blesser, une scène triste faire pleurer. Les nerfs sont “à fleur de peau”)33. Crises de larmes (pleurs spontanés et incontrôlables, souvent sans cause précise.Elles servent de décharge émotionnelle quand le stress ou la douleur s’accumulent)34. Intolérance au stress (le corps et l’esprit ne supportent plus les tensions habituelles. Un petit imprévu ou un bruit fort peut provoquer une réaction disproportionnée)35. Hypervigilance (l’attention reste constamment en alerte, comme si un danger pouvait survenir. Cela empêche le repos et alimente la fatigue nerveuse)36. Changement de personnalité (certains notent une modification de leur tempérament : plus renfermés, plus irritables, ou plus anxieux qu’avant la maladie)37. Troubles obsessionnels compulsifs (TOC - pensées qui tournent en boucle, accompagnées de gestes répétitifs : vérifier, ranger, compter, pour apaiser l’angoisse)38 Phobies (peur intense d’objets, de lieux ou de situations précises : comme les espaces clos, les transports ou certains animaux)39. Agoraphobie (peur de se retrouver dans des lieux publics ou des situations où il serait difficile de s’échapper. Souvent liée à la peur d’avoir une crise d’angoisse à l’extérieur)40. Anxiété sociale (peur du regard ou du jugement des autres.Parler en public, manger devant quelqu’un ou rencontrer de nouvelles personnes devient source de stress)41. Paranoïa (méfiance excessive envers les autres, impression d’être observé, critiqué ou incompris. Souvent liée à une sensibilité émotionnelle extrême et un stress chronique)42. Isolement émotionnel (tendance à se couper des autres pour se protéger.La personne se referme sur elle-même, parfois parce qu’elle ne se sent plus comprise)
❤️ Système cardiovasculaire
(43-53)

43. Palpitations cardiaques (sensation que le cœur bat trop fort, trop vite ou de manière irrégulière. Elles peuvent apparaître au repos, après un effort ou sous stress, souvent accompagnées d’anxiété)44. Tachycardie (le cœur bat anormalement vite (plus de 100 battements par minute au repos).Cela donne parfois une impression d’emballement ou de cœur “qui s’emballe dans la poitrine”)45. Bradycardie (le cœur bat trop lentement : moins de 60 battements par minute. Cela peut provoquer fatigue, vertiges ou sensation de manque d’air)46. Arythmie (le rythme du cœur devient irrégulier, avec des battements qui sautent ou varient sans raison. Certaines personnes le ressentent comme des “ratés” ou des “vibrations” dans la poitrine)47. Hypotension (Pression sanguine trop basse. Provoque étourdissements, fatigue, tête légère ou vision floue, surtout quand on se lève rapidement)48. Hypertension (pression sanguine trop élevée dans les artères. Souvent silencieuse, elle peut entraîner maux de tête, bourdonnements ou palpitations)49. Étourdissements orthostatiques (chute de la pression artérielle en passant de la position assise ou couchée à debout. Cause une impression de tête vide, de flou visuel ou de vertige soudain)50. POTS = intolérance orthostatique (syndrome où le cœur s’accélère fortement dès qu’on se lève, sans chute de tension. Il provoque palpitations, malaise, tête qui tourne et fatigue importante)51. Cœur qui bat dans tout le corps (sensation de pulsations visibles ou ressenties dans plusieurs zones : cou, bras, ventre. C’est souvent lié à une hyperperception du rythme cardiaque, fréquente chez les personnes hypersensibles ou anxieuses)52. Hypersensibilité thoracique (la région de la poitrine devient douloureuse ou sensible au toucher. Un simple appui, mouvement ou changement de position peut accentuer la gêne)53. Frissons inexpliqués (des tremblements légers ou des frissons apparaissent sans fièvre ni froid réel)
🧠 Système nerveux (central, périphérique, autonome)
🥴 "Pseudo"-neurologiques (54-74)

54. Migraines (douleurs intenses et pulsatiles, souvent d’un seul côté de la tête. Elles peuvent s’accompagner de nausées, de sensibilité à la lumière ou au bruit, et durer plusieurs heures à plusieurs jours)55. Douleurs à la tête (céphalées diffuses, présentes à différents endroits du crâne. Elles varient en intensité et peuvent être continues ou par crises, souvent liées au stress ou à la tension musculaire)56. Douleurs faciales (douleurs ressenties au niveau du visage, parfois confondues avec des douleurs dentaires. Elles peuvent venir des nerfs du visage ou de la mâchoire "ATM" et s’étendre vers les yeux ou les tempes)57. Douleurs derrière les yeux, au fond de l’orbite (sensation de pression ou de douleur profonde derrière un œil ou les deux. Elle peut s’intensifier avec la lumière, la fatigue ou une migraine)58. Étourdissements (impression de perte d’équilibre, de tête légère ou de flottement. Ils peuvent apparaître en position debout, en mouvement, ou même au repos)59. Vertiges (sensation que tout tourne autour de soi, ou que le corps bouge alors qu’il est immobile. Ils sont souvent accompagnés de nausées, d’instabilité et de peur de tomber)60. Syncope (perte de connaissance brève causée par un manque temporaire d’oxygène au cerveau. Avant la syncope, on peut ressentir une faiblesse, une vision floue ou des bourdonnements d’oreilles)61. Crises pseudo-épileptiques (épisodes ressemblant à des crises d’épilepsie : secousses, perte de contrôle, chute, mais sans activité électrique anormale dans le cerveau. Elles sont souvent liées à une surcharge émotionnelle ou à un stress extrême)62. Symptômes pseudo-AVC (apparition soudaine de faiblesses musculaires, troubles de la parole ou engourdissements, qui imitent un AVC mais sans lésion détectée à l’imagerie)63. Myoclonies nocturnes (petites secousses musculaires brusques pendant le sommeil, souvent dans les jambes. Elles peuvent réveiller la personne ou son partenaire sans qu’elle s’en rende compte)64. Sensation de chocs électriques (sensation soudaine de décharge électrique traversant une zone du corps)65. Fourmillements (sensation de petits picotements sous la peau, comme si des “fourmis” circulaient. Ils apparaissent souvent dans les mains, les bras, les jambes ou les pieds)66. Engourdissements des membres (perte partielle de la sensibilité dans une zone du corps, donnant une impression de lourdeur ou de “membre mort”)67. Hypoesthésie = sensibilité réduite (diminution de la sensibilité de la peau ou des sens. Le toucher, la chaleur ou la douleur sont moins bien perçus dans certaines zones du corps)68. Hyperesthésie = sensibilité augmentée (les sensations sont amplifiées : un simple contact, un bruit ou une lumière peuvent devenir désagréables ou douloureux. Le corps réagit comme s’il était “trop branché”)69. Allodynie = effleurement cutané douloureux (douleur ressentie même lorsqu’on touche la peau très légèrement, par exemple avec un vêtement, un drap ou une caresse)70. Sensation de brûlure cutanée (la peau brûle ou pique comme après un coup de soleil, sans rougeur visible)71. Distorsion des sensations (ex. la peau est extrêmement sensible, les sensations corporelles deviennent anormales ou déformées : un effleurement peut être perçu comme une douleur, ou une zone semble plus grande ou plus petite qu’en réalité)72. Troubles de la coordination (les gestes deviennent moins précis : écrire, boutonner, verser un verre d’eau ou marcher demandent plus de concentration)73. Troubles de l’équilibre ou sensation d’être attiré sur le côté (difficulté à maintenir une posture stable, surtout en position debout ou en marchant. On peut ressentir une instabilité, un balancement ou une impression de tangage)74. Maladresse (tendance à lâcher des objets, se cogner ou se blesser sans raison apparente)
🤔 Cognitifs, mais non neurologiques (75-91)

75. Brainfog / fibrobrouillard (sensation de vivre dans le coton, impression que l’esprit est ralenti ou enveloppé dans un nuage. On a du mal à penser clairement, à se concentrer ou à réagir rapidement)76. Difficultés de concentration (l’attention se disperse facilement.Lire, suivre une discussion ou accomplir une tâche demande beaucoup plus d’effort mental)77. Mémoire à court terme perturbée (oublis fréquents du quotidien : où on a posé un objet, ce qu’on voulait dire ou faire. C’est une perte de mémoire immédiate, souvent aggravée par la fatigue)78. Difficultés à s’exprimer (cherche les mots) ou à communiquer (les mots ne viennent plus spontanément. On sait ce qu’on veut dire, mais le cerveau semble “bloqué” quelques secondes avant de retrouver le mot juste)79. Difficultés pour parler (extinction de voix, dysphonie), discours saccadé (la voix devient faible, rauque ou s’éteint facilement, surtout en cas de fatigue ou de stress. Cela vient d’une tension musculaire ou d’une mauvaise coordination entre respiration et phonation)80. Perte du fil d’une conversation (pendant qu’on parle ou écoute, on oublie soudain le sujet ou les derniers mots. Cela crée un sentiment de vide ou de confusion passagère)81. Jugement altéré (difficulté à évaluer clairement une situation ou à prendre une décision logique. La pensée devient plus lente, et les émotions peuvent influencer le raisonnement)82. Difficulté à prendre des décisions (le cerveau peine à analyser les options et choisir, même pour de petites choses. Chaque décision demande un effort mental disproportionné)83. Difficulté à planifier ou organiser (es tâches s’accumulent sans hiérarchie claire. Planifier une journée ou un projet devient épuisant et désordonné, comme si la logique interne manquait)84. Difficulté avec le multitâche (faire plusieurs choses à la fois devient presque impossible. Changer de sujet ou de tâche provoque une confusion immédiate et un épuisement mental)85. Désorientation spatiale ou temporelle (on peut perdre la notion du temps ou de l’espace : ne plus savoir quel jour on est, où l’on allait, ou pourquoi on est dans une pièce)86. Confusion / état confusionnel (l’esprit semble flou et désorganisé.Les idées se mélangent, les pensées se perdent, et il devient difficile de suivre une conversation ou une logique simple)87. Impression d’être ailleurs, de “marcher à côté de ses baskets” (sensation de décalage entre soi et la réalité. Le corps agit, mais l’esprit semble “absent” ou comme détaché de ce qu’il fait)88. Hallucinations visuelles (perception de formes, ombres ou lumières qui n’existent pas réellement. Elles surviennent souvent lors de fatigue extrême, de stress ou de manque de sommeil)89. Hallucinations auditives (entendre des sons, voix ou bruits inexistants, souvent discrets et passagers. Elles peuvent accompagner un état de tension nerveuse ou de surcharge sensorielle)90. Déréalisation (le monde extérieur paraît étrange, flou ou lointain, comme dans un rêve. On reconnaît les lieux et les gens, mais ils semblent irréels)91. Dépersonnalisation (impression d’être spectateur de sa propre vie, de ne plus être dans son corps ou ses émotions. C’est une réaction du cerveau à un stress ou une surcharge chronique)
🌬 Système respiratoire / ORL
🫁 Troubles respiratoires (92-97)

92. Apnée du sommeil (arrêts involontaires de la respiration pendant le sommeil, durant quelques secondes à plusieurs dizaines. Ils fragmentent le sommeil et provoquent fatigue, maux de tête et somnolence diurne. Ils doivent être diagnostiqués via une machine spécialisée)93. Ronflements (vibrations sonores produites par le passage de l’air dans les voies respiratoires partiellement obstruées. Ils traduisent souvent une respiration difficile pendant le sommeil)94. Suffocations nocturnes (réveils brusques avec impression d’étouffer ou de manquer d’air. Ces épisodes surviennent fréquemment dans les apnées du sommeil ou lors d’une crise d’angoisse nocturne)95. Dyspnée (difficulté à respirer normalement, même au repos ou après un faible effort. Le souffle devient court, saccadé ou insuffisant, donnant une impression de manquer d’air)96. Respiration superficielle (la respiration reste rapide et peu profonde, limitée au haut du thorax. Elle empêche une oxygénation complète et entretient la sensation d’anxiété ou de fatigue)97. Difficulté à inspirer profondément (impression de ne pas réussir à remplir complètement les poumons, malgré un effort conscient. Cela peut venir d’une tension des muscles respiratoires ou d’un blocage lié au stress)
Voix / gorge (98-101)

98. Gorge sèche (sensation de manque d’humidité dans la gorge, parfois accompagnée de picotements ou de brûlures. Elle peut être causée par la respiration buccale, certains médicaments ou un manque d’hydratation)99. Gorge irritée, sensation de glaire (la gorge semble encombrée ou enflammée, avec un besoin fréquent de racler. Cela peut venir d’un reflux acide, d’une allergie, d’une infection légère ou d’une hypersécrétion de mucus)100. Amygdalite (Inflammation des amygdales : souvent causée par un virus ou une bactérie. Elle provoque une gorge douloureuse, de la fièvre et une difficulté à avaler)101. Laryngite (inflammation du larynx, la zone qui contient les cordes vocales. Elle entraîne enrouement, toux sèche, douleur en parlant et parfois une perte temporaire de la voix)
👃 Nez / sinus / bronches (102-109)

102. Douleurs sinusales (douleurs ressenties au niveau du front, des pommettes ou autour des yeux. Elles s’intensifient souvent en se penchant en avant ou lors de changements de pression atmosphérique)103. Sinusites chroniques (inflammation persistante des sinus : cavités situées autour du nez. Elles provoquent une gêne faciale, un nez bouché, des écoulements épais et une fatigue durable)104. Bronchites récurrentes (inflammations fréquentes des bronches, avec toux, mucosités et gêne respiratoire. Elles peuvent être virales ou liées à une sensibilité accrue des voies respiratoires)105. Pneumonies (infection des poumons entraînant une toux productive, fièvre, frissons et douleurs thoraciques. Chez les personnes sensibles, elles peuvent survenir après une infection virale ou une grande fatigue)106. Asthme exacerbations (crises où les voies respiratoires se resserrent, provoquant sifflements, toux et difficulté à respirer. Elles peuvent être déclenchées par le stress, le froid, les allergies ou la pollution)107. Toux chronique (toux persistante, sèche ou grasse, durant plusieurs semaines)108. Adénopathies : glandes gonflées (augmentation du volume des ganglions lymphatiques, notamment au niveau du cou. C’est une réponse immunitaire à une infection ou une inflammation locale)109. Écoulement nasal postérieur (sensation de mucus qui coule à l’arrière de la gorge, souvent après un rhume, une allergie ou une sinusite. Elle peut provoquer toux, irritation et besoin constant de se racler la gorge)
🌡 Thermorégulation et sensibilités
(110-118)

110. Hypersensibilité au chaud (le corps supporte mal la chaleur : sensation d’étouffement, fatigue, vertiges ou rougeurs. Une température normale peut déjà sembler excessive)111. Hypersensibilité au froid (le froid provoque rapidement des douleurs, engourdissements ou contractures musculaires. Les mains et les pieds deviennent souvent très froids, même dans un environnement tempéré)112. Thermorégulation instable (le corps n’arrive plus à réguler correctement sa température : on passe rapidement du chaud au froid sans raison apparente)113. Bouffées de chaleur / sueurs (sensation soudaine de chaleur intense, souvent accompagnée de rougeurs et de transpiration. Elles peuvent apparaître en lien avec le stress, les hormones ou la fatigue nerveuse)114. Sueurs abondantes (transpiration excessive, parfois sans effort ni chaleur extérieure. Elle peut concerner tout le corps ou certaines zones comme les mains, le dos ou le visage)115. Sueurs nocturnes (transpiration importante pendant le sommeil, trempant parfois les draps)116. Syndrome de Raynaud : extrémités blanches et froides en hiver (les doigts ou les orteils deviennent blancs, froids et engourdis face au froid ou au stress. Le sang circule mal dans les petits vaisseaux, puis revient en provoquant des picotements)117. Pieds glacés (sensation persistante de froid dans les pieds, même sous une couverture ou dans un environnement chaud. Souvent liée à une mauvaise microcirculation ou à un dérèglement du tonus vasculaire)118. Intolérance aux changements climatiques (les variations de température, d’humidité ou de pression atmosphérique déclenchent douleurs, fatigue ou maux de tête. Le corps réagit de manière excessive aux variations de l’environnement)
👀👂👄 Organes sensoriels (yeux, oreilles, bouche)
Oreilles (119-124)

119. Acouphènes, sifflements (perception de sons internes : sifflements, grésillements, cliquetis : sans source extérieure)120. Bourdonnement d’oreille (variante d’acouphène, perçu comme un bourdonnement sourd ou continu. Il peut augmenter avec le stress, la fatigue ou l’exposition au bruit)121. Perte auditive (diminution de la capacité à percevoir certains sons ou fréquences. Elle peut être temporaire : inflammation, tension musculaire ou chronique : atteinte auditive nerveuse)122. Hypersensibilité au bruit = phonophobie (le bruit, même modéré, est perçu comme trop fort ou douloureux)123. Excès de cérumen (accumulation anormale de cire dans le conduit auditif. Elle peut provoquer une sensation d’oreille bouchée, d’écho ou de baisse d’audition)124. Conduit auditif qui gratte (démangeaisons internes dans l’oreille, souvent liées à une sécheresse, une irritation ou une petite inflammation locale)
Yeux (125-143)

125. Sécheresse oculaire (les yeux manquent de larmes naturelles, provoquant picotements, brûlures ou sensation de sable)126. Vision troublée et douloureuse (la vue devient floue, instable ou douloureuse, surtout en cas de fatigue. Les yeux ont du mal à s’adapter à la lumière ou à la mise au point)127. Photophobie : sensibilité à la lumière (la lumière, même modérée, est perçue comme agressive ou éblouissante. Les yeux réagissent de manière excessive à la luminosité artificielle ou naturelle)128. Photosensibilité : sensibilité au soleil (intolérance spécifique à la lumière solaire directe, pouvant provoquer maux de tête, brûlure oculaire ou fatigue visuelle)129. “Mouches volantes” (petites taches sombres ou filaments qui bougent dans le champ visuel)130. Douleur orbitaire (douleur ressentie derrière ou autour des yeux, parfois associée à une tension des muscles oculaires ou à des migraines)131. Conjonctivite (inflammation de la membrane transparente qui recouvre le blanc de l’œil. Provoque rougeurs, démangeaisons, écoulements et sensibilité à la lumière)132. Blépharite = inflammation des paupières (paupières rouges, irritées et gonflées, souvent avec des croûtes à la base des cils)133. Kératite = inflammation de la cornée (inflammation de la surface transparente de l’œil, provoquant douleur, larmoiement et vision trouble.Elle nécessite une attention médicale rapide)134. Uvéite (inflammation de la couche intermédiaire de l’œil (uvée).Elle entraîne rougeur, douleur oculaire et baisse de vision)135. Névrite optique = inflammation du nerf optique (douleur derrière l’œil avec baisse brutale de la vision)136. Cataracte (Opacification progressive du cristallin, entraînant baisse de vision, éblouissements et flou visuel)137. Glaucome (augmentation de la pression à l’intérieur de l’œil, pouvant endommager le nerf optique.Souvent silencieux au début, il provoque une perte du champ visuel périphérique)138. Dégénérescence maculaire (atteinte de la rétine centrale : macula, responsable de la vision fine. Elle entraîne une diminution progressive de la vision centrale)139. Décollement de rétine (la rétine se détache de son support, provoquant éclairs lumineux, perte de vision partielle ou voile noir. C’est une urgence médicale)140. Perte de vision (baisse partielle ou totale de la vue, temporaire ou durable, selon la cause : inflammation, pression, fatigue nerveuse, etc.)141. Paupières qui battent = spasmes (petites contractions involontaires de la paupière, souvent liées à la fatigue, au stress ou au manque de magnésium)142. Yeux gonflés (paupières supérieures ou inférieures enflées, souvent après un mauvais sommeil ou une inflammation locale)143. Cernes sous les yeux (coloration sombre ou bleutée sous les yeux, causée par une mauvaise circulation veineuse ou lymphatique, souvent accentuée par la fatigue chronique)
Bouche / dents (144-152)

144. Sécheresse buccale ou syndrome de Gougerot-Sjögren (sensation de bouche sèche en permanence, avec parfois une langue pâteuse ou des difficultés à parler)145. Difficultés pour avaler = dysphagie (avaler devient pénible ou douloureux, avec une impression que les aliments “restent coincés”)146. Fausse route = avalement (les liquides ou aliments passent dans la trachée au lieu de l’œsophage, provoquant toux ou étouffement passager)147. Ulcères buccaux = aphtes (petites lésions douloureuses à l’intérieur de la bouche : lèvres, langue, gencives)148. Douleurs dentaires diffuses (douleur mal localisée, souvent sans problème dentaire apparent)149. Sensibilité au chaud et au froid = dents (douleur brève et vive lors du contact avec des boissons ou aliments très chauds ou froids)150. Déchaussement des dents (les gencives se rétractent, laissant apparaître la racine des dents. Cela peut causer une mobilité dentaire et une hypersensibilité)151. Collets dentaires sensibles (zone entre la dent et la gencive devenue exposée et douloureuse au toucher, au froid ou au brossage)152. Caries multiples (formation de trous ou de taches sombres sur les dents dues à une déminéralisation de l’émail)
🧬 Système endocrinien et reproductif
(153-168)

153. Syndrome prémenstruel =SPM (en période prémenstruelle, les symptômes deviennent plus intenses : irritabilité, douleurs, fatigue, troubles du sommeil ou fringales. Le corps réagit de façon exagérée aux variations hormonales)154. Dysménorrhée = douleurs menstruelles (règles très douloureuses, souvent accompagnées de crampes abdominales, de nausées ou de maux de dos. Les muscles de l’utérus se contractent plus fortement que la normale)155. Règles abondantes (saignements menstruels plus importants et plus longs que d’habitude. Peuvent entraîner fatigue, anémie ou carence en fer)156. Règles irrégulières (cycles trop courts, trop longs ou imprévisibles.Ils reflètent un déséquilibre hormonal souvent lié au stress chronique ou à la fatigue surrénalienne)157. Douleurs pelviennes hors règles (douleurs dans le bas-ventre survenant en dehors des menstruations)158. Endométriose (présence de tissu endométrial en dehors de l’utérus, provoquant des douleurs intenses et parfois une infertilité)159. Hyperplasie endométriale (épaississement excessif de la muqueuse utérine, causé par une stimulation hormonale prolongée. Elle peut se manifester par des règles abondantes ou irrégulières)160. Seins souvent kystiques, mastoses (les seins deviennent douloureux, tendus et granuleux au toucher, surtout avant les règles)161. Dyspareunie = douleur pendant les rapports (douleur ressentie pendant ou après les rapports sexuels, souvent dans le bas-ventre ou le vagin)162. Douleurs vaginales non associées aux règles (douleurs persistantes ou brûlantes, sans lien avec le cycle)163. Vulvodynie = brûlures, tiraillements vulvaires (sensation de brûlure, tiraillement ou picotement au niveau vulvaire, sans cause visible)164. Infertilité féminine ou masculine (difficulté à concevoir malgré des rapports réguliers)165. Dysfonction érectile (difficulté à obtenir ou maintenir une érection)166. Baisse de libido (diminution du désir sexuel, parfois jusqu’à une absence totale)167. Déséquilibres hormonaux (fluctuations anormales des hormones : œstrogènes, progestérone, cortisol, etc. Elles provoquent fatigue, irritabilité, troubles du sommeil et variations de poids)168. Fatigue surrénalienne = axe HHS perturbé (l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien fonctionne mal après un stress prolongé. Les glandes surrénales s’épuisent, provoquant fatigue constante, baisse de motivation et intolérance au stress)
🍽 Système digestif / métabolique
(169-200)

169. Syndrome de l’intestin irritable = IBS ou Colon irritable (trouble fonctionnel du système digestif sans lésion visible. L’intestin devient hypersensible et réagit de façon excessive au stress, à certains aliments ou aux hormones. Provoque douleurs abdominales, ballonnements, gaz et alternance de constipation et de diarrhée)170. Constipation (difficulté à évacuer les selles, avec une fréquence réduite ou des selles dures)171. Diarrhée (selles liquides ou fréquentes, parfois soudaines)172. Alternance diarrhée / constipation (le transit varie sans raison apparente, traduisant une instabilité nerveuse ou musculaire du tube digestif)173. Ballonnements (sensation de gonflement abdominal, parfois douloureuse. Souvent liée à une fermentation excessive ou à une hypersensibilité intestinale)174. Douleurs abdominales (crampes ou douleurs diffuses dans le ventre, souvent soulagées après l’évacuation. Résultent d’une irritation du système nerveux digestif)175. Gaz (accumulation d’air dans l’intestin, provoquant flatulences, tensions ou douleurs. Souvent aggravée par le stress ou certains aliments fermentescibles)176. Digestion lente (sensation que les aliments restent longtemps dans l’estomac, avec lourdeur et fatigue après les repas)177. Crampes intestinales (contractions soudaines et douloureuses du ventre)178. Reflux gastro-œsophagien =RGO (remontée acide dans l’œsophage, provoquant brûlures, toux ou gêne dans la gorge. Souvent aggravé en position allongée ou après un repas copieux)179. Brûlures d’estomac (sensation de chaleur ou de feu dans la poitrine, liée à l’acidité gastrique. Parfois confondue avec une douleur cardiaque)180. Nausées (envie de vomir, souvent associée à une surcharge digestive, un stress ou un reflux acide)181. Vomissements (rejet du contenu de l’estomac)182. Intolérances alimentaires multiples (réactions digestives ou cutanées après ingestion de certains aliments : gluten, lactose, additifs, etc. Le système digestif devient hypersensible et réactif)183. Hypersensibilité aux additifs alimentaires (réaction à des conservateurs, colorants ou exhausteurs de goût. Provoque souvent ballonnements, maux de tête ou fatigue postprandial)184. Perte de poids involontaire (amaigrissement sans régime ni effort particulier)185. Prise de poids inexpliquée (augmentation du poids sans excès alimentaire)186. Changements d’appétit (appétit variable, alternant entre faim excessive et perte d’envie de manger. Souvent influencé par la fatigue, le stress ou les hormones)187. Envies irrépressibles de glucides et de sucre (besoin soudain et difficile à contrôler de consommer des aliments sucrés ou riches en féculents)188. Hypoglycémie = taux de sucre trop bas (faiblesse, tremblements, sueurs ou irritabilité entre les repas)189. Hyperglycémie = taux de sucre trop élevé (fatigue, soif, urines fréquentes. Peut apparaître lors d’une résistance à l’insuline ou d’un stress prolongé)190. Résistance à l’insuline (les cellules répondent mal à l’insuline, obligeant le pancréas à en produire davantage)191. Carences nutritionnelles (manque de nutriments essentiels : fer, magnésium, vitamines, etc. Souvent causées par une mauvaise absorption intestinale ou une fatigue métabolique chronique)192. Déficit en vitamine D (fréquent chez les personnes douloureuses ou fatiguées. La carence provoque faiblesse musculaire, douleurs osseuses et baisse d’immunité)193. Anémie (manque de globules rouges ou de fer. Entraîne fatigue, essoufflement et pâleur)194. Gastrite (inflammation de la paroi de l’estomac. Provoque douleurs, brûlures et nausées, souvent aggravées à jeun)195. Ulcères gastro-duodénaux (petites plaies sur la muqueuse de l’estomac ou du duodénum. Elles causent douleurs brûlantes et inconfort après les repas)196. Hémorroïdes (dilations veineuses autour de l’anus, causant douleurs, démangeaisons ou saignements. Souvent aggravées par la constipation)197. Dysfonction de la vésicule biliaire (la bile circule mal, entraînant ballonnements, digestion lente et douleurs sous les côtes droites)198. Pancréatite (inflammation du pancréas, provoquant douleurs abdominales intenses et nausées. Peut être aiguë = soudaine ou chronique = récurrente)199. Enzymes hépatiques élevées (indiquent une inflammation ou une surcharge du foie)200. Calculs rénaux (petites pierres minérales formées dans les reins, provoquant douleurs violentes et brûlures urinaires. Souvent liés à une déshydratation ou un déséquilibre métabolique)
🧴 Système cutané et phanères
Peau (201-210)

201. Peau sèche (la peau manque d’hydratation et devient rugueuse, terne ou qui tire)202. Peau écailleuse, râpeuse (la peau présente un aspect irrégulier ou granuleux, avec de petites squames visibles. Elle reflète souvent une altération de la barrière cutanée et un manque de sébum protecteur)203. Peau sensible aux vêtements serrés (le simple contact ou la pression des habits provoque démangeaisons, inconfort ou douleur)204. Peau marbrée = aspect livedo (la peau prend un aspect violacé ou marbré, surtout au froid)205. Démangeaisons (sensation de prurit intense, parfois sans lésion visible. Souvent déclenchée par le stress, la chaleur ou la sécheresse cutanée)206. Grattage incontrôlable : mollets, avant-bras (envie irrépressible de se gratter certaines zones, parfois jusqu’à irriter la peau. Ce comportement est souvent nerveux ou réflexe, lié à une hypersensibilité sensorielle)207. Éruptions cutanées (apparition soudaine de boutons, plaques ou rougeurs)208. Rougeurs faciales = rosacée (rougeurs diffuses du visage, souvent sur les joues et le nez. Elles sont accentuées par la chaleur, les émotions ou certains aliments)209. Urticaire (plaques rouges et gonflées, accompagnées de démangeaisons intenses)210. Eczéma ou psoriasis (la peau présente des boutons rouges ou des plaques rouges, épaisses ou irritées, parfois sèches et qui démangent)
Vascularisation / cicatrisation (211-220)

211. Varices ou veines en toile d’araignée (petites veines apparentes ou gonflées, surtout sur les jambes. Signe d’une circulation sanguine ralentie ou fragilisée)212. Œdèmes périphériques (gonflement des mains, des pieds ou des chevilles, souvent en fin de journée. Lié à une mauvaise circulation ou une rétention d’eau)213. Lymphœdème (accumulation de lymphe dans les tissus, causant un gonflement durable et lourd. Souvent dû à une mauvaise circulation lymphatique)214. Apparition facile d’ecchymoses (des bleus apparaissent facilement, parfois sans choc)215. Cicatrisation lente (les plaies mettent plus de temps à se refermer)216. Infections cutanées (la peau s’irrite ou s’infecte facilement après une petite blessure)217. Ulcères cutanés (plaies profondes et douloureuses qui cicatrisent difficilement. Elles apparaissent souvent sur les jambes ou les pieds)218. Escarres (zones de peau abîmées par une pression prolongée : souvent au niveau des talons ou du dos)219. Douleur de cicatrice (une ancienne cicatrice peut rester sensible, brûlante ou douloureuse, même après guérison)220. Chéloïdes (cicatrices épaisses et dures qui dépassent la zone initiale de la plaie. Causées par une réaction de cicatrisation excessive)
Phanères : cheveux / ongles (221-224)

221. Perte de cheveux ou alopécie (les cheveux tombent plus que d’habitude, parfois par zones)222. Cuir chevelu douloureux (sensation de brûlure, tiraillement ou sensibilité au toucher sur le cuir chevelu)223. Ongles cassants, striés ou décolorés (les ongles deviennent fragiles, ternes ou traversés de fines lignes claires transparentes)224. Cheveux et ongles fragiles (cheveux qui se cassent facilement, ongles qui se dédoublent ou se fissurent)
💤 Sommeil et énergie
(225-235)

225. Fatigue chronique (sensation constante d’épuisement, même après du repos. Présente en continu et sans cause apparente évidente226. Épuisement au réveil (le sommeil n’apporte aucune récupération réelle. La personne se réveille aussi fatiguée qu’avant de dormir)227. Insomnie (difficulté à trouver ou à maintenir le sommeil.Le mental reste actif malgré la fatigue)228. Difficulté d’endormissement (le corps est fatigué mais l’esprit reste agité. L’endormissement devient long ou fragmenté)229. Réveils nocturnes fréquents (le sommeil est interrompu plusieurs fois par nuit, souvent sans raison claire. Le retour au sommeil est difficile)230. Hypersomnie = excès de sommeil (besoin de dormir longtemps ou de faire des siestes répétées. Malgré cela, la fatigue persiste)231. Sommeil non réparateur (le sommeil paraît profond mais inefficace.Aucun sentiment de repos ou de récupération au réveil)232. Cauchemars (rêves intenses ou angoissants qui perturbent le sommeil. Souvent liés au stress, à l’anxiété ou à la douleur chronique)233. Terreurs nocturnes, avec sensation de suffocation (réveils brusques avec peur intense et impression d’étouffer)234. Niveau d’activité <50 % du niveau antérieur (baisse marquée de la capacité physique et mentale par rapport à avant la maladie. Le quotidien devient plus lent et limité)235. Fatigue extrême après une activité minimale = intolérance à l’effort (un simple effort provoque un épuisement disproportionné. Le corps récupère difficilement après l’activité)
💦 Système urinaire / uro-génital
(236-243)

236. Besoins fréquents d’uriner (envie d’uriner souvent, même avec peu d’urine. Le besoin est parfois urgent et difficile à retenir)237. Fuites urinaires au moindre effort (petites pertes d’urine lors d’un toux, rire ou effort physique)238. Vessie irritable (la vessie réagit de façon exagérée à de faibles stimulations. Provoque des envies fréquentes ou douloureuses d’uriner)239. Cystites fréquentes sans infection (sensation de brûlure ou de douleur urinaire sans bactérie détectée)240. Cystite interstitielle (inflammation chronique et douloureuse de la paroi vésicale. Provoque des douleurs pelviennes persistantes et des envies d’uriner constantes)241. Spasmes vésicaux (contractions involontaires de la vessie provoquant douleur et envie urgente d’uriner)242. Prostatite - chez l’homme (inflammation de la prostate, entraînant douleurs pelviennes, brûlures urinaires et gêne)243. Douleurs pelviennes chroniques (douleurs diffuses et persistantes dans le bas-ventre ou le bassin)
⚡️ Système immunitaire / hypersensibilités
(244-250)

244. Allergies aux médicaments (réactions cutanées, respiratoires ou digestives après la prise d’un médicament. Elles peuvent aller de l’éruption légère au choc allergique sévère)245. Allergies respiratoires : rhume des foins, asthme (réactions du système immunitaire face au pollen, à la poussière ou aux poils d’animaux. Provoquent éternuements, toux, démangeaisons et essoufflement)246. Réactions anaphylactiques = choc (réaction allergique grave et soudaine, avec difficulté à respirer, chute de tension et gonflement. C’est une urgence médicale vitale)247. Sensibilités chimiques : pollution, solvants, parfums (réactions excessives à de faibles doses de produits chimiques : nettoyants, parfums, peintures. Provoquent maux de tête, nausées ou irritations respiratoires)248. Intolérance aux odeurs : fumée, parfums, cigarettes (les odeurs fortes déclenchent nausées, vertiges ou gêne respiratoire. Liée à une hyperréactivité du système nerveux autonome)249. Surcharge sensorielle (le cerveau est submergé par les sons, lumières, odeurs ou stimulations. Provoque épuisement, anxiété ou malaise physique immédiat)250. Réactivation virale ou infectieuse (tendance à refaire des épisodes viraux légers : herpès, EBV, zona, sans infection majeure)
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Les DOULEURS sont le seul symptôme principal de la fibromyalgie :
DOULEURS : symptômes liés au douleurs, sur 5 symptômes, tu as :
Si tu as au moins 3 sur 5, cela signifie que tu as une forte probabilité de fibromyalgie (un diagnostic médical est nécessaire pour la confirmer).

⚠️ Une fibromyalgie sans douleurs n’existe pas.
Si tu ressens beaucoup d’autres symptômes mais peu ou pas de douleurs, il s’agit peut-être plutôt d’un syndrome de fatigue chronique (SFC) ou d’une autre maladie.
STADE DE DOULEURS : Selon le niveau de tes douleurs, ton stade hypothétique est de (sur 4) :
Stade 0 = pas de fibromyalgie

Si tu as déjà été diagnostiquée fibromyalgique, tu peux considérer ce résultat comme assez fiable pour évaluer ton stade de douleur selon ma Théorie FibroHuman (protégée par les droits d’auteur).

Cependant, rappelle-toi que les différents types de douleurs se superposent.
Définir ton stade de douleur dépendra surtout de ta propre compréhension de ton corps et de ta douleur.

Si tu n’as pas encore reçu de diagnostic, considère ce résultat comme une information complémentaire.

Ps. Si tu n’as aucune douleur, mais que tu es extrêmement fatiguée, il se peut que tu aies le syndrôme de fatigue chronique (SFC). J’explique la frontière nette entre les deux dans ma "Théorie FibroHuman".
Ton score de symptômes sur 250 liés à la fibromyalgie* (ils ne valent pas un diagnostic du médecin) :
Il n’existe aucun moyen de confirmer une fibromyalgie uniquement sur la base du nombre de symptômes.
Cependant, à partir de 30 à 50 symptômes, il est possible que tu présentes une forme débutante de la maladie, ou un profil de type 1 ou 2 (profils dits débutants).

À partir de 80 symptômes ou plus, la probabilité d’un diagnostic de fibromyalgie devient élevée.

💡 N’hésite pas à consulter ton médecin avec ce formulaire imprimé afin d’approfondir ton évaluation et ton diagnostic.
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🌡 Thermorégulation et sensibilités

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🧬 Système endocrinien et reproductif

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